ArmavirArmavir est devenu déjà le centre assez considérable industriel. Dans la ville travaillent les usines de conserverie produisant des jus fruitiers et de légumes, ainsi que les usines produisant des vins secs, des vins fruitiers et des vermouths. On peut faire l'excursion dans l’entreprise où on reçoit des feuilles du géranium, l'huile volatile pour l'industrie de parfum et de cosmétologie.
La ville d'Oktemberian était rebaptisée Armavir.
Les ruines de l'ancien Armavir qui était la première capitale d’Arménie sont situées près de la ville moderne. Armavir est apparu au IV s avant J.C. sur cette place où plus avant se trouvait une importante ville - la forteresse et la capitale des Urartuéens Аrguichtikhinli. Armavir appartenait à la première dynastie des rois arméniens Ervandouni qui sont venus au pouvoir après la chute des régents Urartéens. La ville est devenue simultanément un principal centre religieux du règne d’Ararat où le culte du feu et du soleil dominait parmi la population. Avec l'arrivée des Sélevkides c’était déjà le début de la culture de hellénisme. Sur la colline d’Armavir on fouille des ruines du temple hellénistique où on adorait les dieux païens.
Armavir est devenu déjà le centre assez considérable industriel. Dans la ville travaillent les usines de conserverie produisant des jus fruitiers et de légumes, ainsi que les usines produisant des vins secs, des vins fruitiers et des vermouths. On peut faire l'excursion dans l’entreprise où on reçoit des feuilles du géranium, l'huile volatile pour l'industrie de parfum et de cosmétologie.
Au début, Armavir était situé au bord d'Araxe, à la conséquence de manque de l'eau du fleuve, on était obligé de transférer la résidence des rois sur une autre place, et le roi Artaches I a construit à côté du fleuve d’Araxe une nouvelle capitale -Artachate (Artaxiada au II s avant J.C.).
Graduellement Armavir est tombé en décadence, mais continuait à exister jusqu'à V s J.C. Du côté d'Armavir sont découverts les anciennes inscriptions d’Urartu et grecque de l'époque de hellénisme, quand les Arméniens n'avaient pas encore leurs écritures et ils se servaient sels de grecques.
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