24B Bagramyan ave., Yerevan, Republic of Armenia, Tel.: +374(10)56-33-21 , +374(93)885-642
Russian federation
119/68 Prospekt Mira ave., VVC, Pavilion "Armenia", office 115., Moscow, Russia. Tel./fax: +7(495)772-9871
GorisGoris est une petite localité - crée au XIXe siècle; jusque- là les habitants de la région vivaient comme à l’époque où Xénophon les avait trouvés, au Ve siècle avant notre ère dans les habitations troglodytiques qui donnaient à ces paysages des faux aires de Cappadoce en Turquie. La ville de Goris (23,3 milles de la populations) est disposée à 250 km d'Erevan, dans la vallée de la rivière de Vararak, dans le cirque de montagnes entouré des chaînes rocheuses. Ces rochers sont connus sous le nom «le bois en pierre de Goris». Le labyrinthe entier des pyramides en pierre, les poteaux, les colonnes et les obélisques - les résultats fantasques des processus de l'érosion éolienne. La création de la ville de Goris existait encore au début de notre ère, mais les premiers signes de la vie urbaine sont apparus ici seulement dans la deuxième moitié du XIX s. D’après le plan général de la ville, la construction municipale se formait en 36 rues se croisant à l'équerre. Là sont construites des maisons en pierre à un étage. Au Sud-est de la petite ville on a construit la place où il y a des bâtiments à destination publique et commerciale (parmi eux le bâtiment du Passage, que l'on peut voir et aujourd'hui). À côté de la place centrale on arrangeait un petit square municipal. L'église municipale et le monument de «Sept sources» se trouvent aussi sur cette place. Un peu plus loin, dans une ancienne rue de Lénine est située la maison -musée de l’écrivain Akcel Bakounts. Sur le bord opposé de la rivière de Vararak, à l’ancien Goris on peut rencontrer les maisons de caverne, les ruines de l'église et le cimetière des XVII-XIX siècles, des rochers d’où s’ouvre la vue superbe sur Goris. Un autre panorama impressionnant sur la ville s'ouvre du terrain disposé à l'entrée de la ville du côté de Sissian, près du monument «Zanghezour». |
|